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POEME: L'ENSEIGNEMENT (Ière Partie)
Toi qui délègues en soumission des instructions pour exécution
N’as tu pas oublié ton porte- monnaie dans le pantalon porté autrefois ?
N’as- tu pas su que tu partais en promenade et que tu auras envie de ce que tu as toujours proposé maîtriser !?
Supportes- tu ta promesse ?
Patientes ton temps,
Tu songeais partir à temps ?
Passes en revue ton emploi du temps,
As- tu bien rempli les programmes prévus pour cette journée ?
Ce n’est peut être pas le climat qui a vite avancé l’heure ?
Tu avais bien regardé ta montre ?
Ne prétends pas grandir plus que tes cheveux et cultiver tout un champ par un seul doigt.
Respectes ta taille, portes ce qui te convient,
Sinon, tu risques de porter le caleçon en tête à la place du chapeau,
Quelle déconsidération !
Ne promets pas pour promettre rien que pour exciter les sentiments et les esprits,
Gardes ta promesse longtemps secrète jusqu’à son accomplissement pour ne pas occasionner ta défaite ; ainsi, tu seras libre de promettre avec l’idée en tête de le satisfaire.
Je t’appellerais alors, expert de surprise d’agir.
N’achète pas le couteau pour la viande d’autrui pour partage,
Fais ça pour soi et à toute la famille d’abord ; car, on ne peut jamais vaincre la volonté du peuple, moins encore courir au hasard sans partir d’une origine quelconque malgré que ce peuple n’a pas un pouvoir considérable de tout après les élections de se conduire selon lui ; mais, il en a quand même du tout dans son pays.
Tu éduques ?
Et comment ?
Tu le réalises seulet ?
Si avec quelqu’un que tu appelles enseignant, rend lui heureux et fais de lui comme si c’était toi à sa fonction !
Qu’il se sente un peu à l’aise !
Ainsi, il assumera son job sans la moindre volonté de la condition autre que prévue avec vérité, et courage et, ta famille restera représentativement respectueuse partout elle passera avec une compétence de taille à titre de la formation que toi seul inspectais en qualité et avec rigueur.
Je suis fier surtout de faire partie de la famille,
Me promets- tu m’envoyer à l’école librement et être enseigné par des enseignants de qualité digne de leur profession, tranquilles chacun dans son institution ?
Sans fanatisme, d’abord mon éducation,
Et mes ami(e)s suivront mes pas sans doute.
Que Dieu bénisse ton travail, frère, pour nous avoir préparés depuis la famille et nous avoir ouverts au monde.
Ainsi, nous garderons longtemps la maison avec soin, et serons tous en paix sans causer du tord à la famille moins encore à nos progénitures au nom des nos grands parents et parents.
Victor BOLEMBO, Garantir l’enseignement
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(c) Victor BOLEMBO 2009
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